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Emmanuel De Bock brigue la présidence du FDF



debock2012« Moi président… S’indigner sans s’engager ne sert à rien. Faire du FDF le parti des Wallons et Bruxellois qui veulent un autre possible.» C’est par ce tweet, vers 22h15, alors qu’il sortait du conseil communal d’Uccle qu’Emmanuel De Bock a annoncé qu’il briguait la présidence du FDF. Le dépôt des candidatures se clôturait ce lundi soir; le jeune (36 ans) député régional, conseiller communal ucclois, sera le seul à défier Olivier Maingain.

Un solide défi qu’il s’apprête à relever avec enthousiasme. Ce lundi soir, surpris quelques minutes à peine après l’officialisation de sa candidature, il se montre intarissable. Sur la politique, son projet, son parti… Entretien sur le vif, peu après 22h30.

Une annonce in extremis, avant la clôture des candidatures. Vous avez hésité jusqu’au bout ?


Honnêtement, cela faisait quelques semaines que je me tâtais. J’attendais de voir un peu comment les choses allaient se décanter. Didier Gosuin n’était pas candidat. Puis il y a eu cette conférence de presse de Bernard Clerfayt qui a dit que, pour lui non plus, ce n’était pas d’actualité. A ce moment-là, je me suis dit que c’était dommage qu’il n’y ait pas d’autre candidat que le président sortant.

Pourquoi ?

Parce que nous sommes un parti en bonne forme. Et qu’il faut précisément montrer que le FDF a d’autres personnalités dans ses rangs, en particulier des jeunes. Il n’y a pas que les pères fondateurs et les fils fondateurs, il y a une autre génération, qui est la mienne. Il y a un vivier de jeunes qui s’indignent, c’est très bien, mais il n’y en a pas assez qui s’engagent. Ou alors, ce sont les héritiers, les fils de. Ce qui n’est pas mon cas : je n’ai pas un père en politique, pas de mère en politique non plus.

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Bart De Wever ou la Belgique à l’Anvers…


manujfdfLe dernier sondage de ce 8 septembre 2012 pour Anvers est sans appel. Bart de Wever y est consacré roi d’Anvers. Et certains éditorialistes de se demander si quelqu’un pourrait (encore) l’arrêter…

Non, manifestement, la NVA est incontournable pour l’électeur anversois. Pourquoi ? Tout  simplement parce que les partis traditionnels et démocratiques qui se présentent contre la NVA n’atteignent pas 51% des sièges. La tendance est lourde. D’ailleurs il y a un an, un sondage réalisé pour le compte de Gazet Van Antwerpen avait pointé la NVA à 31,2% pour 19,4% au Vlaams Belang. La NVA a continué à puiser dans l’électorat Vlaams Belang, mais pas seulement. En effet, à la suite de ce terrible sondage, le CD&V qui ne pesait plus virtuellement que 2 élus avait décidé de se présenter sur une liste commune avec Patrick Janssens. Un choix que l’électeur anversois ne suit pas puisque la coalition n’aurait que 16 sièges, soit bien moins que la somme des listes SPA-CD&V réunies.

Aujourd’hui, à un mois du scrutin communal, les 38,1% qu’obtient la NVA représentent 24 des 55 sièges communaux, contre 16 sièges pour le bourgmestre sortant allié au CD&V, 2 sièges pour l’Open VLD et  5 sièges pour Groen sans oublier PVDA qui prendrait 1 siège.
Vu qu’il faut 28 sièges pour construire une majorité et que le VB en récolterait 7, il n’est pour ainsi dire pas possible de contourner la NVA, sauf à s’allier avec le Vlaams Belang. 
Vu le duel à mort que se livrent Bart De Wever et le bourgmestre sortant SPA (Patrick Janssens) et son cartel SPA-CD&V, on imagine mal ces 2 partis s’accorder au soir de l’élection… Reste donc l’Open VLD quasi menacé d’extinction politique avec ses 2 malheureux sièges et les 5 sièges de Groen.

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Sondage IPSOS : les FDF dénoncent les conséquences probables des mauvais accords de 2001

Communiqué de presse  
fdfSondage IPSOS : les FDF dénoncent les conséquences probables des mauvais accords de 2001

Le confédéralisme de l’Etat et la cogestion Bruxelles est en marche





A chaque sondage, ses enseignements. Et même s’il ne s’agit que d’intentions de vote, le dernier sondage IPSOS-RTL-Le Soir publié ce matin peut avoir, en Région bruxelloise mais aussi au niveau national, des conséquences importantes. En effet, si on traduit ces intentions en dévolution des sièges, travail réalisé par le député FDF Emmanuel De Bock, on constate que les adversaires de la Belgique et de Bruxelles seront en mesure de prendre le pouvoir dans la capitale et de bloquer le pays.  
Au Parlement fédéral, la dévolution des sièges donnerait à la NVA et au Vlaams Belang 45 députés sur les 88 députés du groupe linguistique flamand, soit la majorité absolue. Au Vlaams Raad, la NVA serait ainsi incontournable et Bart De Wever devrait succéder à Kris Peeters en exigeant une nouvelle réforme de l’Etat forcément défavorable à Bruxelles et à la Wallonie. Dans la Capitale, la NVA serait quasi-assurée de co-diriger la Région bruxelloise vu la sur-représentation garantie des élus néerlandophones et la parité ministérielle.
En effet, à Bruxelles, les partis flamands (VLD-CD&V-GROEN) actuellement au pouvoir ont perdu leur majorité et ne seraient plus crédités que de 4,7% des voix. Ils ne représenteraient plus que 7 élus sur 17 si l’on extrapole le sondage! Le Vlaams Belang et la NVA obtiendraient ensemble 7 des 17 élus. On est donc en train de jouer avec le feu puisqu’il ne manque quasi plus rien pour que la NVA soit incontournable. Mais même sans la majorité absolue du groupe linguistique néerlandophone, la NVA, qui participe déjà à la majorité au Vlaams Raad depuis 2009, serait en mesure de faire pression sur les autres partis néerlandophones pour s’imposer également dans l’exécutif bruxellois.  

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Les 19 communes inégales devant les subsides « Sommets Européens »

Saint-Josse, Koekelberg et Saint-Gilles reçoivent jusqu’à 5 fois plus qu’Uccle, Woluwe, Ixelles ou Jette

Les 19 communes inégales devant les subsides

« Sommets Européens »




Le député bruxellois FDF Emmanuel De Bock vient de réaliser une étude sur l’affectation des moyens « sommets européens » entre les 19 communes. En comparant les subsides depuis 2006, il y relève des inégalités flagrantes entre les 19 communes.


Il faut rappeler l’origine du mécanisme : afin de couvrir les dépenses liées à la prévention de la criminalité dans le cadre des sommets européens et autres initiatives liées à la fonction internationale de la Ville de Bruxelles et des communes de la Région de Bruxelles-Capitale, une aide financière de 7.500.000 € est octroyée aux 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale par le Gouvernement Fédéral (arrêté du 6 décembre 2007). Une autre partie des fonds est octroyé directement aux zones de police.


Sur les 7,5 millions d’euros, 300.000 € est alloué directement à la ville de Bruxelles (asbl Transit) pour lutter plus spécifiquement contre la toxicomanie. La répartition du montant restant (7.200.000 €) entre les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale s’effectue selon une clé étrange non-indexée depuis 2006 : 50 % aux communes bruxelloises bénéficiant d’un plan stratégique de sécurité et de prévention au prorata des montants reçus dans ce cadre-là et 50 % répartis en parts égales entre les 19 communes, à savoir : voir graphique en annexe



Une répartition étrange et inégale entre les 19 communes.



Ainsi si l’on compare les 19 communes les unes par rapport aux autres, on constate que l’aide moyenne régionale par habitant est de 6,6 €.  Les communes les plus favorisées dans la répartition sont Saint-Josse (16,9 €/hab), Koekelberg (16,5 €/hab) et Saint-Gilles (9,5 €/hab). Etrangement des communes comme Anderlecht, Schaerbeek et Molenbeek reçoivent moins que la moyenne régionale et jusqu’à 3 fois moins que Saint-Josse et Koekelberg, deux fois moins que Saint-Gilles.


Les communes les plus défavorisées sont Uccle (à peine 3,5 €/hab), Woluwe-Saint-Lambert, Ixelles et Jette (4 €/hab).


Un manque à gagner énorme pour certaines communes


Ainsi Uccle perd chaque année l’équivalent de 242.000 €, Ixelles 206.000 € et plus de 100.000 € pour Schaerbeek, Anderlecht, Molenbeek et Woluwe-Saint-Lambert. Des montants que ces communes soit n’investiront pas dans la prévention-sécurité, soit consacreront ces moyens sur fonds propres au détriment d’autres politiques ou en augmentant l’impôt local.



Le député FDF Emmanuel De Bock demande la modification de la clé de répartition afin qu’elle corresponde désormais aux besoins réels. On pourrait se baser sur des critères plus objectifs et plus pertinents comme celui de la population ou celui des institutions internationales et ambassades situées sur le territoire des communes.

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Menace sur Bruxelles

Menace sur Bruxelles : la NVA au gouvernement bruxellois demain !

A la suite du dernier sondage de La Libre Belgique paru ce 12 mai 2012, le député FDF Emmanuel De Bock et politologue a réalisé la dévolution des sièges sur le Parlement Bruxellois.
On rappellera que les précédentes réformes des institutions bruxelloises avaient doublé artificiellement la représentation des Néerlandophones, faisant passé le nombre de députés flamands de 10 à 17. Désormais, quel que soit le score des partis néerlandophones, ils se partagent 19% des sièges du Parlement et surtout ont accès paritairement au Gouvernement bruxellois (2 ministres et 1 secrétaire d’Etat). A l’époque, la sur-représentation était censée prémunir les Bruxellois de voir le Vlaams Belang arriver au pouvoir. Dix ans plus tard, c’est la NVA qui risque tout simplement de rejoindre le Gouvernement bruxellois !

 

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