Non à la Fermeture du Bois de la Cambre !
La Ville de Bruxelles vient de lancer son plan communal de mobilité qui prévoit la fermeture du Bois de la Cambre.
Alors qu’Uccle connaît une mobilité difficile de par sa situation à l’entrée et à la sortie de la ville et doit faire face à un flux sans cesse croissant de navetteurs, alors qu’Uccle n’est desservi par aucune ligne de métro, il est essentiel que le Bois de la Cambre reste accessible. En cas de fermeture du Bois de la Cambre, ce sont des embouteillages monstres et des pics de pollution qui attendent les riverains et commerçants.
J’ai interpellé le conseil communal d’Uccle ce 26 avril et il a été confirmé que la commune n’avait pas été associée à la réflexion du plan communal de mobilité de la majorité PS-CDH de la Ville de Bruxelles. J’ai aussi interpellé ce 2 mai au Parlement bruxellois le Ministre bruxellois GROEN de la Mobilité Bruno De Lille qui a confirmé être favorable à la fermeture du Bois et a même espéré qu’à l’issue de la concertation en cours, le Plan de la Ville de Bruxelles sera plus ambitieux encore !
Chers voisins, il n’est pas trop tard. Sortons du Bois ! Cette pétition sera transmise aux autorités de la Ville de Bruxelles et aux autorités régionales. Si vous souhaitez placer une affiche à votre fenêtre, prenez contact avec moi par e-mail et je vous les ferai parvenir.
Pour signer la pétition par internet :
www.nonalafermeturedubois.be
Emmanuel De Bock
Député bruxellois
Le rapatriement futur à Uccle du quartier Vivier d’Oie - Vert Chasseur - Clairière
Sauvons la gare d’Uccle-Calevoet !
La SNCB a annoncé la suppression de 10 % de trains … et de 40 gares belges d’ici 2015. A Bruxelles, la Gare d’Uccle-Calevoet est concernée par cette suppression.
Alors qu’Uccle connaît une mobilité difficile de par sa situation à l’entrée et à la sortie de la ville et doit faire face à un flux sans cesse croissant de navetteurs, alors qu’Uccle n’est desservi par aucune ligne de métro, il est essentiel de maintenir et renforcer une offre rapide de transports publics permettant aux Bruxellois de rejoindre le centre et le nord de Bruxelles rapidement. Alors que l'engorgement de Bruxelles est croissant, la SNCB doit mettre en oeuvre les moyens permettant une réelle mobilité alternative.
Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !
Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !
Député MR-FDF
Michel Colson
Député et Secrétaire Général des FDF
Les transferts financiers sont au cœur des négociations institutionnelles qui patinent depuis plusieurs mois. On discute énormément des transferts Nord-Sud au travers des projets de modification de la loi de financement. On discute également des transferts entre les différentes entités francophones (Région Wallonne, Communauté française, Cocof) au sein du groupe Wallonie-Bruxelles. Etonnamment, personne ne s’est jamais intéressé aux transferts financiers intra-bruxellois entre les institutions représentant les francophones (Cocof) et les flamands (VGC) de la capitale. C’est aujourd’hui chose faite. Notre étude analyse l’évolution des droits de tirage (soit les moyens financiers allant de la Région vers la Cocof et la VGC) depuis 1993 à aujourd’hui.
Les trois sources de financement de la Cocof
La Commission communautaire française (Cocof) est une entité fédérée du paysage institutionnel belge qui gère une série de matières liées de près au quotidien des quelque 900.000 habitants francophones de la Région bruxelloise : formation professionnelle, enseignement, aide aux personnes handicapées, affaires sociales et de santé, cohésion sociale, tourisme, culture, infrastructures sportives, etc.
L'institution bénéficie de trois sources de financement :
• Une dotation qu'elle reçoit de la Communauté française pour l'exercice d'une partie de ses compétences à Bruxelles ;
• Une dotation qu'elle reçoit pour l'exercice de compétences liées à la disparition de la Province du Brabant ;
• Un droit de tirage sur le budget de la Région bruxelloise, hérité des accords de la Saint-Michel.
La Cocof est sous pression financière depuis sa création. Elle n’a, en réalité, jamais été dotée, proportionnellement aux besoins qu’elle devait couvrir, des mêmes moyens que son alter ego la VGC (Vlaamse Gemeenschapscommissie).
On ne parle que très rarement du droit de tirage des entités fédérées bruxelloises sur le budget régional. Il n’y a d’ailleurs aucune étude sur la question. Il nous a donc semblé utile de faire ce travail de compilation de données et d’analyse.
Du pays basque à la périphérie : le respect de la volonté des populations !
Le Président des FDF, Olivier Maingain, relève que la N-VA cherche à se donner du crédit à l’étranger, faute de convaincre les Wallons, les Bruxellois et les démocrates qui dénoncent le nationalisme comme une menace pour la démocratie.
A l’occasion d’un rassemblement de forces nationalistes basques, la N-V.A a, semble-t-il, découvert le principe démocratique de la libre disposition des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Heureuse découverte qui devrait avoir un prolongement en périphérie de Bruxelles car aucune autorité ne peut disposer du sort des populations contre leur gré. Les 150.000 Francophones de la périphérie ne se considèrent évidemment pas comme appartenant au peuple flamand. Leur sort ne peut dès lors être lié à celui de la Flandre. Il reste donc comme seule issue pour résoudre le problème du tracé arbitraire de la frontière linguistique que de consulter les populations concernées pour savoir de quel côté de la frontière elles souhaitent se retrouver.