Holding communal: 4,5 millions d'euros de manque à gagner à Bruxelles
Les communes bruxelloises actionnaires du Holding communal subiront ensemble un manque à gagner de 4,48 millions d'euros en raison de l'octroi d'un dividende privilégié 2010 plus faible que prévu (7% au lieu de 13%).
Les plus touchées seront Anderlecht, Ixelles, Molenbeek, Saint-Gilles, et Schaerbeek, a affirmé jeudi le ministre-président bruxellois Charles Picqué. Selon lui, la Région a par ailleurs acheté pour 30 millions de certificats de trésorerie au Holding communal.Interpellé en commission du parlement régional au sujet des conséquences de la chute de dividende de Dexia sur les finances communales, M. Picqué a proposé d'attendre l'ajustement budgétaire régional pour voir comment les communes auront absorbé la baisse des recettes de dividendes du Holding et déterminer à ce moment si la Région doit intervenir et si c'est possible en fonction de ses propres recettes.
Le ministre-président a ajouté que si nécessaire, il proposerait au gouvernement que cette baisse de recettes des communes soit immunisée dans le cadre du calcul de la répartition d'une dotation de 30 millions aux communes.
Bruxelles-Compost : quand le recyclage des déchets pollue
Bruxelles-Compost : quand le recyclage des déchets pollue
Emmanuel De Bock (MR-FDF) exige un sac vert biodégradable
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Si l’environnement est bien une priorité du Gouvernement bruxellois, alors les gestionnaires régionaux de Bruxelles-Compost ont de sérieux soucis à se faire. En effet, outre le problème récurrent des nuisances olfactives et du manque de capacité de traitement des déchets verts alors qu’on élargit la collecte à toutes les communes bruxelloise, un autre problème environnemental se pose désormais : le composte produit à Bruxelles est pollué. En effet, les sacs verts ne sont plus séparés des déchets verts à l’entame du processus de compostage. Surréaliste…
Le député MR-FDF Emmanuel De Bock et le chef de file des FDF au conseil communal de Forest Marc Loewenstein ont visité l’ensemble des installations afin de démontrer l’exacte ampleur du problème (photographiques à l’appui).
Un problème qui cependant n’est pas sans solution. C’est pourquoi le groupe MR va déposer une proposition de règlement afin notamment d’imposer l’introduction d’un sac vert biodégradable. Une motion a également été déposée au conseil communal de Forest pour dénoncer la situation globale de Bruxelles-Compost.
L’Olivier PS-CDH-ECOLO toujours en recul à Bruxelles, le MR en forte progression.
Le député Emmanuel De Bock (MR-FDF) a réalisé la projection de ce que serait le Parlement bruxellois sur base du dernier sondage de La Libre Belgique de ce 28 mars 2011.
Avec plus de 28,9 %, le MR renforce sa position de premier parti à Bruxelles avec 29 sièges soit 5 sièges de mieux que lors des dernières élections régionales.
Le PS, crédité de 23,8 %, obtiendrait 23 sièges, soit une légère progression de 2 sièges. En revanche, le PS et le CDH, tous deux pointés à 10,6 %, n’obtiendraient que 10 sièges soit 1 siège de moins pour le CDH et une chute de 6 sièges pour ECOLO.
Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !
Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !
Député MR-FDF
Michel Colson
Député et Secrétaire Général des FDF
Les transferts financiers sont au cœur des négociations institutionnelles qui patinent depuis plusieurs mois. On discute énormément des transferts Nord-Sud au travers des projets de modification de la loi de financement. On discute également des transferts entre les différentes entités francophones (Région Wallonne, Communauté française, Cocof) au sein du groupe Wallonie-Bruxelles. Etonnamment, personne ne s’est jamais intéressé aux transferts financiers intra-bruxellois entre les institutions représentant les francophones (Cocof) et les flamands (VGC) de la capitale. C’est aujourd’hui chose faite. Notre étude analyse l’évolution des droits de tirage (soit les moyens financiers allant de la Région vers la Cocof et la VGC) depuis 1993 à aujourd’hui.
Les trois sources de financement de la Cocof
La Commission communautaire française (Cocof) est une entité fédérée du paysage institutionnel belge qui gère une série de matières liées de près au quotidien des quelque 900.000 habitants francophones de la Région bruxelloise : formation professionnelle, enseignement, aide aux personnes handicapées, affaires sociales et de santé, cohésion sociale, tourisme, culture, infrastructures sportives, etc.
L'institution bénéficie de trois sources de financement :
• Une dotation qu'elle reçoit de la Communauté française pour l'exercice d'une partie de ses compétences à Bruxelles ;
• Une dotation qu'elle reçoit pour l'exercice de compétences liées à la disparition de la Province du Brabant ;
• Un droit de tirage sur le budget de la Région bruxelloise, hérité des accords de la Saint-Michel.
La Cocof est sous pression financière depuis sa création. Elle n’a, en réalité, jamais été dotée, proportionnellement aux besoins qu’elle devait couvrir, des mêmes moyens que son alter ego la VGC (Vlaamse Gemeenschapscommissie).
On ne parle que très rarement du droit de tirage des entités fédérées bruxelloises sur le budget régional. Il n’y a d’ailleurs aucune étude sur la question. Il nous a donc semblé utile de faire ce travail de compilation de données et d’analyse.
Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !
Solidarité bruxelloise : du plus pauvre au plus riche !
Les transferts financiers sont au cœur des négociations institutionnelles qui patinent depuis plusieurs mois. On discute énormément des transferts Nord-Sud au travers des projets de modification de la loi de financement. On discute également des transferts entre les différentes entités francophones (Région Wallonne, Communauté française, Cocof) au sein du groupe Wallonie-Bruxelles. Etonnamment, personne ne s’est jamais intéressé aux transferts financiers intra-bruxellois entre les institutions représentant les francophones (Cocof) et les flamands (VGC) de la capitale.
C’est aujourd’hui chose faite puisque le FDF publie une étude qui analyse l’évolution des droits de tirages (soit les moyens financiers allant de la Région vers la Cocof et la VGC) depuis 1993 à aujourd’hui. Les conclusions de cette étude sont plus que surprenantes lorsqu’on analyse l’évolution des transferts financiers parallèlement à l’évolution de la population francophone et flamande de Bruxelles : à Bruxelles, la solidarité va du plus pauvre au plus riche !
Pour vous présenter les résultats de cette étude rigoureuse et inédite, Emmanuel DE BOCK (député FDF) et Michel COLSON (député et Secrétaire général du FDF) sont heureux de vous inviter à une conférence de presse qui se déroulera ce
Adresse du jour
Parlement Bruxellois – 9e étage (groupe MR-FDF)
Rue du Lombard 57
1000 Bruxelles
Contact presse : Jean-François Leconte (0497/59.99.49) – Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
La libre: le 9 mars 2011
Des emplois subsidiés un peu trop proches du politique
Le service d’étude du PS mais aussi l’ASBL du SP.A bénéficient de postes ACS. Le MR veut la clarté sur ces emplois subventionnés. Le gouvernement s’y attelle.
ACS. Les chômeurs bruxellois ne connaissent que trop bien ce sigle. Pour la simple raison qu’il s’accompagne d’une série de conditions à remplir pour satisfaire l’offre d’emploi correspondante. Le terme désigne les "agents contractuels subventionnés" dont l’engagement est soutenu financièrement par la Région bruxelloise. Ces emplois sont destinés aux administrations communales et aux CPAS bruxellois (25 %) mais aussi au milieu associatif et non marchand (75 %). Au total, plus de 1 300 organismes en profitent aujourd’hui, relève Emmanuel De Bock, député MR (opposition) au Parlement bruxellois.
ACS : une répartition inéquitable et partisane
ACS : une répartition inéquitable et partisane
Le Ministre Cerexhe attribue même des ACS… au SP.A fédéral
A la suite d’une question parlementaire posée dernièrement, et dont la réponse a été publiée dans le Bulletin des Questions et Réponses n°15 page 120, le 15 février dernier, le député MR-FDF Emmanuel De Bock a réussi à décoder la politique des emplois ACS (agents contractuels subventionnés) financés par la mission 16 du Ministre de l’Emploi Cerexhe.
Il faut savoir que l’ensemble de la politique de l’emploi représente 273 millions € dont 169 millions € (62%) couvrent en réalité le financement des ACS. En clair 62% des moyens budgétaires du Ministre Cerexhe sont consacrés au cofinancement de 9.171 personnes tandis qu’il ne reste plus que 38% restants pour les 105.000 autres demandeurs d’emploi… soit pour ces 105.000 demandeurs d’emploi moins de 988 € par an par demandeur (18 fois moins proportionnellement).
Il est intéressant de se pencher sur l’évolution de ces ACS depuis 2004, et leur répartition totalement inéquitable. Ainsi, entre 2004 et 2010, le nombre d’ACS totaux est passé de 7.893 à 9.171 soit une croissance de 16%. Dans le même temps, les budgets consacrés aux ACS ont crû de 35% passant de 125 millions € à 169 millions € ! En moyenne, un poste ACS représente en 2010 environ 18.430 € contre 15.854 € en 2004.
L’ensemble des ACS sont répartis d’une part entre les communes et les CPAS (25%) et d’autre part, entre un certain nombre d’acteurs et opérateurs, asbl, … (75%).
Les 19 communes reçoivent en 2010 environ 19% de ces ACS régionaux contre 15 % en 2004. Les 19 CPAS ont reçu un peu moins en 2010 soit 5,2% de ces ACS régionaux contre 6,4% en 2004.
2010
Si l’on procède à l’analyse de la répartition de cette première tranche de 25% d’ACS entre les 19 communes et CPAS, on remarquera quelques communes privilégiées et d’autres étrangement moins…
« La Communauté métropolitaine de Bruxelles est un piège »
Interrogé par les journalistes de « La Libre » et du « Soir », Olivier Maingain a clairement rejeté l’idée d’une communauté métropolitaine récemment évoquée pat certains. Ces deux interviews sont publiées ce 1er mars.
“Cette Communauté métropolitaine est un piège », explique le président des FDF qui estime que les négociateurs francophones devront clairement parler des limites de Bruxelles. Ce qui n’exclut pas que les FDF sont disposés à accepter un compromis. Comme en 2005.
Bienvenue au nouveau président des Jeunes FDF, Patrick de Mûelenaere, et à son équipe
Réunis en assemblée générale ce vendredi 25 février, les Jeunes FDF ont désigné leurs nouveaux président et conseil d’administration pour 2011-2014. Désormais, les jeunes du parti pourront compter sur la compétence, la disponibilité et la sympathie de leur nouveau président, Patrick de Mûelenaere, et de son équipe.
« Jeune FDF impliqué dans l’équipe depuis quelques années, j’ai découvert jour après jour l’incroyable potentiel de l’outil ‘Jeunes FDF’ au service de nos valeurs. Soucieux d’utiliser cet outil au maximum de ses capacités et convaincu qu’il n’y a qu’en s’investissant qu’on peut défendre ses idées, je m’engage, avec mon équipe, à défendre jour après jour les idées qui sont chères aux Jeunes Fédéralistes démocrates francophones et à sensibiliser la jeunesse à ces idées : respect des droits de l’homme et du suffrage universel, solidarité Wallonie-Bruxelles, liberté individuelle dans un esprit de solidarité entre tous les citoyens, refus de toute discrimination, implication citoyenne de tout un chacun, et notamment des jeunes… ». C’est ce qu’a déclaré Patrick de Mûelenaere lors de la présentation de son équipe.
On se souviendra qu’Emmanuel De Bock, président sortant des Jeunes FDF, avait annoncé dès sa prestation de serment en tant que député bruxellois qu’il quitterait anticipativement ses fonctions à la tête des Jeunes FDF. Au terme d’une procédure interne, il passe le flambeau à Patrick de Mûelenaere qui a remercié son prédécesseur en ces termes : « Au nom de l’ensemble des Jeunes FDF, je tiens à souhaiter à notre député bruxellois le plus grand succès dans ses actions futures et à le remercier pour le dynamisme, la persévérance et la présence continue dont il a fait preuve pendant ces nombreuses années. Merci aussi pour l’expérience qu’il m’a permis, à titre personnel, d’acquérir à ses côtés dans l’équipe sortante. »
Conscient des nombreux défis que l’équipe devra relever au cours de ces trois ans, le nouveau président des JFDF a tenu à s’entourer d’une équipe motivée et dynamique, composée pour partie de personnes déjà investies dans l’équipe précédente, mais également de nouveaux qui apporteront leur regard neuf sur les actions que les Jeunes FDF entreprendront. Cette équipe compte par ailleurs des représentants bruxellois, de la périphérie et des Wallons, symboles de l’importance que les Jeunes FDF entendent accorder à la création d’une véritable fédération Wallonie-Bruxelles unissant le destin des Francophones.
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