Les Jeunes FDF proposent une consultation populaire avec une question claire comme cadre à toute scission-élargissement.


Les Jeunes FDF s’étonnent de la mise en place du « puzzle » de Dehaene annoncée dans la presse. Lorsqu’on commence un puzzle, on classe les pièces, et on commence par les bords.

Les Jeunes FDF tiennent à rappeler que

1. L’élection directe des bourgmestres des 6 communes à facilités ne peut en aucun cas être la compensation à une scission de BHV. 

2. Placer les communes à facilités dans le giron du gouvernement fédéral n’est pas une condition pour la scission de BHV, il ne s’agit pas d’une avancée mais bien d’un retour en arrière.

Les Jeunes FDF ont appris avec consternation que les pratiques illégales d'exclusion des francophones de logements publics mais surtout privés ont été initiées par Jean-Luc Dehaene.

Au-delà de la condamnation publique, les Jeunes FDF demandent l'abandon immédiat de ces pratiques cautionnées par le CD&V, parti du premier ministre et président du Parlement européen.

Les Jeunes FDF demandent l'ouverture d'une enquête pénale sur ces pratiques. En effet, ces arrangements tacites ne sont pas exempts d'interrogations fiscales et financières.

Le député bruxellois Emmanuel De Bock et conseiller communal MR-FDF d’Uccle a interpellé cette semaine le Collège des bourgmestres et échevins afin de proposer de rénover les trottoirs longeant l’Observatoire afin d’y permettre les promenades d’agrément et la pratique de la marche sportive et course à pied.

Pour Emmanuel De Bock, l’Observatoire constitue un endroit particulièrement agréable pour les promeneurs, en particulier les sportifs (marcheurs, joggeurs) qui y trouvent une piste semi-naturelle, ne représentant pour ainsi dire aucun danger majeur lorsqu’ils pratiquent leur passion.

 

Après avoir présenté sa note d’orientation en matière de cohésion sociale à la presse une semaine avant la commission des Affaires sociales, ce qui est regrettable sur le plan des principes, Charles Picqué a confirmé l’abandon de certaines priorités pour les projets quinquennaux des 5 prochaines années.

Pour le député bruxellois Emmanuel De Bock (MR-FDF), il s’agit d’un désaveu par rapport à la politique menée ces 5 dernières années, politique de dispersion des moyens sans véritable hiérarchisation des priorités.

 

Les Jeunes FDF de Wallonie ont extrapolé en sièges le sondage du 14 mars 2010 de Vers l’Avenir, réalisé par Dedicated Research.

En globalisant les résultats, et en les comparant aux résultats des dernières élections régionales wallonnes, les rapports de force entre les partis restent totalement similaires, le MR perdant vraisemblablement 1 siège au profit du CDH.

Ce mercredi 10 mars 2010 à la Maison Communale d’Uccle,  j’ai présenté lors d’une conférence de presse avec Armand De Decker, Bourgmestre d’Uccle et Président du Sénat, mon étude actualisée  “20 ans de Dotation Générale aux Communes - Analyse et évaluation des mécanismes de solidarité  en Région bruxelloise”



Armand De Decker et moi-même avons fait l'analyse des 20 dernières années du principal mécanisme de solidarité : la Dotation Générale aux Communes (Fonds des communes). Principal outil de solidarité intercommunale pesant près de 250 millions d'euros chaque année, il était essentiel d'avoir une vue historique afin de permettre une évaluation crédible de cette politique publique importante. Le travail réalisé est à la mesure de l'intérêt que nous portons pour cette solidarité intrarégionale.


Initialement conçue pour pallier aux différences de perceptions communales des recettes du précompte immobilier (PRI) et de l'impôt sur les personnes physiques (IPP), la Dotation ne corrige pas ces différences. Dans certains cas, elle fait plus que les combler, et dans d'autres cas, elle les accroît. Nous avons mis en évidence les importantes disparités de traitement depuis 20 ans. A titre d’exemple, pour ce qui concerne notre commune Ucle, alors que les Bruxellois se sont appauvris de 21% an 20 ans, les Ucclois se sont appauvris de 27% et pourtant la Région a diminué de moitié ses efforts envers notre commune. Une politique qui, à terme, fait payer la crise deux fois aux Ucclois.

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