Le Ministre Cerexhe cache les mauvais chiffres de l’emploi et des entreprises.
Communiqué de presse
Le Ministre Cerexhe cache les mauvais chiffres de l’emploi et des entreprises.
Le Ministre Cerexhe cache les mauvais chiffres de l’emploi et des entreprises.
A la suite de la réaction du Ministre Cerexhe mettant injustement en cause son étude sur les faillites, le député bruxellois Emmanuel De Bock (FDF) persiste et signe et tient à préciser que tous les chiffres de son étude proviennent du SPF Economie http://statbel.fgov.be/fr/statistiques/chiffres/economie/entreprises/faillites/ et sont confirmés par le Bureau d’étude indépendant Graydon dans son dernier rapport annuel http://www.graydon.be/publicnew/default.aspx?i=102&artikels_id=824
Le ministre Cerexhe ne pourra jamais résoudre le problème du chômage s’il continue à se voiler la face en niant les mauvais chiffres bruxellois ! Dans ses communications, Benoît Cerexhe ne parle que de la création d’entreprises à Bruxelles mais ne communique jamais sur les faillites, les cessations d’entreprises, les migrations d’entreprises hors de Bruxelles. L’étude réalisée par le député Emmanuel De Bock a le mérite d’en parler et d’approcher la réalité de la dynamique réelle entrepreneuriale sur une période de 10 ans (vie et mort des entreprises et des emplois liés). Les chiffres du SPF Economie sont formels : 22% des faillites du pays sont bruxelloises pour environ 14% de créations d’entreprises.
Le ministre communique aussi beaucoup sur la création d’emploi à Bruxelles, mais jamais sur la création d’emploi au bénéfice des Bruxellois. Dans l’exposé général du budget 2012, le propre document de travail du gouvernement, on peut lire que « le taux de croissance économique a généré 15.000 postes de travail ces trois dernières années. Cependant, le taux d’emploi des Bruxellois n’a pas augmenté à Bruxelles, contrairement aux deux autres Régions. Le taux de chômage y a augmenté d’1 % en 2009, il a continué à grimper en 2010 et se stabilisera seulement en 2011. Sur les 714.000 emplois existants en Région bruxelloise, 342.000 sont occupés par des Bruxellois, ce qui signifie que seulement 47,9% des emplois sont aux mains des habitants de la Région ». Le ministre Cerexhe ose-t-il renier les écrits du Ministre-Président ?
Abonnements scolaires : dédouaner l’Olivier est une fausse bonne idée
Communiqué de presse
Abonnements scolaires : dédouaner l’Olivier est une fausse bonne idée
Les FDF réclament la cohérence politique des Gouvernements PS-cdH-ECOLO
Abonnements scolaires : dédouaner l’Olivier est une fausse bonne idée
Les FDF réclament la cohérence politique des Gouvernements PS-cdH-ECOLO
Les FDF, par la voix du député bruxellois Emmanuel De Bock, ont été les premiers à dénoncer la rupture de la solidarité Wallonie-Bruxelles après l’abandon, par le Gouvernement de la Communauté Française (PS-CDH-ECOLO), du remboursement de la moitié des abonnements scolaires pour les Bruxellois. Un coût estimé à 7 millions € pour les Bruxellois inscrits dans une école relevant de la Communauté française.
La proposition du MR visant à amender le budget régional 2012 de 7 millions € pour payer la réduction des abonnements scolaires est une fausse bonne idée par excellence. C’est surtout un très mauvais signe et une prime à la mauvaise gestion de l’Olivier de la Communauté Française qui ouvre ainsi la porte vers d’autres transferts à charge des Régions. Or, on le sait, la Région bruxelloise reste exsangue et son mini-refinancement ne doit pas, in fine, aboutir à assumer les dérapages budgétaires de la Communauté Française.
Casino de Bruxelles : Il n’y aura pas de réduction de taxes
Casino de Bruxelles :
Il n’y aura pas de réduction de taxes
Il n’y aura pas de réduction de taxes
Impair, Passe, Manque…. C’est un peu le résumé que l’on peut faire à la sortie de la Commission des Finances de ce lundi 14 novembre 2011 où Emmanuel De Bock, député FDF, interpelait le Gouvernement sur les difficultés financières du casino de Bruxelles (12 millions de pertes en 2010) et la négociation secrète en vue d’une diminution de taxe.
« Le casino a joué et a perdu son bras de fer » avec la Région bruxelloise résume le député FDF Emmanuel De Bock qui avait été le premier à s’opposer à une révision de la concession octroyée, au motif qu’on ne change pas les règles du jeu en cours de partie, au risque d’ouvrir la voie à de nombreux recours de la part des candidats non-retenus.
Le groupe Viage souhaitait une ristourne de 25% de sa taxe soit 4 millions € par an. En réalité la concession est octroyée par la Ville de Bruxelles qui perçoit 3 millions € de taxes locales.
La Région bruxelloise, quant à elle, perçoit 16 millions €, selon l’ordonnance du 20 décembre 2002 (adoptée bien antérieurement à l’arrivée du casino) et n’a pour ainsi dire aucune marge de manœuvre, explique Emmanuel De Bock, qui est satisfait de la fin de non-recevoir que le Gouvernement a réservé aux demandes des exploitants du casino.
La Région bruxelloise n’est pas plus gourmande que la Région wallonne ou la Région flamande. En réalité, le niveau de taxation est le même, et lié au chiffre brut d’exploitation, de sorte que si la crise a un impact, cela devrait se traduire également dans une baisse des recettes régionales ce qui n’est pas le cas, puisqu’on est passé de 14,9 millions d’euros à 16 millions d’euros ces 3 dernières années. « C’est donc bel et bien un problème de gestion bien plus qu’un problème de taxes trop élevées » conclut le député Emmanuel De Bock.
Une rupture de la solidarité Wallonie-Bruxelles qui coûtera 7 à 10 millions € aux Bruxellois !
Réduction Abonnements scolaires :
Une rupture de la solidarité Wallonie-Bruxelles qui coûtera 7 à 10 millions € aux Bruxellois !
Une rupture de la solidarité Wallonie-Bruxelles qui coûtera 7 à 10 millions € aux Bruxellois !
Cela n’aura duré que 3 petites années. Il faut relire les débats parlementaires et autres déclarations de 2008 : le gouvernement PS-CDH-ECOLO de la Communauté française se réjouissait de cette mesure qui « préserve le pouvoir d’achat des familles tout en favorisant la mobilité et le développement durable » et, « participe indéniablement à la démocratisation de l’accès aux études ». Il y a à peine un an, le 7 septembre 2010, le Gouvernement déclarait encore « souhaiter bien entendu poursuivre les efforts entrepris afin de réduire encore davantage le coût indirect des études », envisageant même d’atteindre la gratuité...
Chaque année 18,6 millions €, soit à peine 0,2% du budget de dépenses de 9,1 milliards €, permettaient à 70.000 Bruxellois et 110.000 Wallons de bénéficier d’une intervention financière pour la moitié de leur abonnement STIB ou TEC. Depuis 3 ans, tous les enfants bruxellois et wallons fréquentant une école de la Communauté française bénéficiaient de la même intervention. Ce ne sera sans doute plus le cas demain. En abandonnant cette mesure, la Communauté française force la Région Wallonne et la Région Bruxelloise à la reprendre à leur charge.
Selon les calculs du député bruxellois Emmanuel De Bock, cette mesure coûtera proportionnellement beaucoup plus au budget bruxellois (7 millions € minimum) qu’au budget wallon et va poser un problème communautaire là où il n’y en avait pas… Et si c’est la Région qui reprend cette intervention, il faudra se conformer au droit européen, ce qui pourrait obliger Bruxelles à accorder cet avantage non seulement aux Bruxellois mais aussi à tout demandeur wallon et flamand, puisqu’il est interdit de discriminer positivement ou négativement sur base du lieu de résidence.
D’après les informations obtenues par le député FDF Emmanuel De Bock, le Gouvernement wallon aurait déjà prévu une dotation complémentaire à la SDRWT pour financer la mesure. A Bruxelles, la STIB est incapable de financer elle-même cette mesure, les 7 millions € représentent plus de 15% de sa dotation pour tarifs préférentiels et 4,2% de ses recettes dites directes (ventes 165 millions €).
Septembre 2011 : les mauvais chiffres du chômage
Le nombre de demandeurs d’emploi bruxellois augmente deux fois plus vite que la population bruxelloise
En prenant connaissance des chiffres du chômage diffusé par le Ministre Cerexhe, Emmanuel De Bock, député FDF, constate « qu’une nouvelle fois, le Ministre tente de dissimuler les mauvais résultats bruxellois derrière des statistiques partielles ». Démonstration.
Le ministre bruxellois prend comme référent le pire mois de la crise (septembre 2010), ce qui lui permet d’annoncer des baisses relatives quasi-insignifiantes… cachant la réalité d’une situation explosive où le taux moyen du chômage est à 21% et risque d’atteindre, selon le rapport récent de l’ADRASS commandé par le Ministre lui-même, les 36% en 2020 si aucune mesure structurelle n’est prise dans les mois prochains.
En prenant connaissance des chiffres du chômage diffusé par le Ministre Cerexhe, Emmanuel De Bock, député FDF, constate « qu’une nouvelle fois, le Ministre tente de dissimuler les mauvais résultats bruxellois derrière des statistiques partielles ». Démonstration.
Le ministre bruxellois prend comme référent le pire mois de la crise (septembre 2010), ce qui lui permet d’annoncer des baisses relatives quasi-insignifiantes… cachant la réalité d’une situation explosive où le taux moyen du chômage est à 21% et risque d’atteindre, selon le rapport récent de l’ADRASS commandé par le Ministre lui-même, les 36% en 2020 si aucune mesure structurelle n’est prise dans les mois prochains.
Le choix de l’avenir : se faire respecter !
Le nationalisme flamand vient d’engranger une de ses plus grandes avancées de ces dernières années : la scission de l’arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde et le renforcement du carcan qui enferme Bruxelles en Flandre. Au mépris de leurs engagements électoraux les plus solennels, les partis francophones n’en ont pas obtenu la juste contrepartie.
Pour ne pas contredire l’accord qui unit le CD&V et la N-VA au gouvernement, les partis francophones ont renoncé à l’élargissement territorial de la Région bruxelloise, à l’application pleine et entière de la convention-cadre pour la protection des minorités nationales ou à la compétence de la Communauté française pour protéger la vie culturelle et sociale des Francophones de la périphérie bruxelloise.
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