L’Olivier PS-CDH-ECOLO toujours en recul à Bruxelles dans un sondage qui voit les partis francophones traditionnels perdre étonnamment 10% de leur électorat...
Le député Emmanuel De Bock (MR-FDF) a réalisé la projection de ce que serait le Parlement bruxellois sur base du dernier sondage de La Libre Belgique/RTL.
Avec plus de 25,7 % et 25,4%, le PS et le MR renforcent tous deux leur position de premier parti à Bruxelles. Le PS gagnerait 4 sièges et le MR gagnerait 1 siège par rapport aux élections régionales de 2009.
Au sein de l’Olivier, ECOLO qui n’est plus crédité que de 12,1 % perdrait 4 sièges tandis que le CDH recule encore d’un siège avec à peine 10,5 %.
La stratégie de l’Olivier ne sert que le PS. On assiste à un remake de la tentative du pôle des gauches de 2002. Le PS par son alliance, coince électoralement ECOLO et le CDH, les marginalise à son seul profit.
Pour rappel, lors des élections régionales de juin 2009, l’Olivier s’était re-formé pour évincer le MR, premier parti bruxellois. L’ensemble de la coalition pesait alors 48 sièges francophones sur les 89 sièges du Parlement bruxellois.
Les Bruxellois paient en moyenne 17 € de plus sur leur facture pour financer les primes de certains…
C’est ce qui ressort des réponses de la Ministre Huytebroek aux questions posées par le député Emmanuel De Bock (MR-FDF) voir pièce jointe
Le prélèvement pour les missions de service public (dont les primes à l’énergie) se fait via l’article 26 de l’ordonnance électricité et via une surcharge complémentaire sur le tarif électrique et le tarif gaz.
Ainsi, un ménage qui consomme 2.800 kWh d’électricité par an aura contribué en 2010 à hauteur de 7,79 € TVAC au budget des primes à l’énergie (soit 1,2% de surcoût de sa facture). De même, un ménage qui consomme 18.000 kwh pour se chauffer au gaz naturel contribue en 2010 à hauteur de 9,17 € au budget des primes à l’énergie (soit 0,8% de sa facture).
Au total donc, pour un consommateur moyen gaz et électricité ayant une facture d’environ 1.796 € annuellement, 17 € seront prélevés pour payer les primes à l’énergie des demandeurs.
OFFRE D'EMPLOI
Cette description de tâches s'adresse aux personnes dynamiques, motivées par une expérience intense mais enrichissante. Les Jeunes MR sont une association en plein mouvement qui cherche à développer plus en profondeur sa portée politique. Les Jeunes MR (JMR), organisation de jeunesse reconnue et subventionnée par la Communauté française (Décret 20 juin 1980), engage un(e) collaborateur(ice) politique.
Lieu de travail principal : Bruxelles, Saint-Gilles
Titre du poste
Collaborateur politique
Le collaborateur politique des Jeunes MR est l'articulation politique de l'association. Il doit contribuer à faire écho des décisions politiques du Bureau politique des Jeunes MR. Il concrétise les réactions des Jeunes MR aux événements quotidiens. Il planifie et met en œuvre une vision politique à court, moyen et long terme.
Le gouvernement bruxellois consacre moins d’argent par demandeur d’emploi qu’en 2004…
Derrière une hausse des budgets 2011 de l’emploi se cache en réalité une baisse moyenne de l’aide aux demandeurs d’emploi. Ceux-ci sont bien moins aidés qu’en 2004.
Si l’on prend 2005 comme année de référence, premier budget de l’Olivier, Bruxelles consacrait 211 millions € à la politique de l’emploi alors qu’il fallait faire face à 86.040 DEI (demandeurs d’emploi inoccupés).
Pour 2011, la politique de l’emploi du Ministre Cerexhe (CDH) consacrera quelques 273 millions € alors qu’il faudrait rencontrer les besoins de 107.643 DEI (dont 97% de francophones). La Région bruxelloise connaît désormais un taux de chômage à 22 % et environ 40% chez les jeunes.
En 6 ans, ce sont plus de 21.603 nouveaux demandeurs d’emploi supplémentaires qu'on ne peut se permettre de laisser au bord du chemin. C'est une augmentation de plus de 25% depuis la dernière coalition MR-PS de 2004.
On consacre en moyenne 235 € de moins par DEI qu’en 2004 (taux de 13% d’inflation entre 2005 et 2011 inclus).
Pour atteindre les niveaux de soutien aux demandeurs d'emploi inoccupés de 2004, il faudrait pas moins de 25 millions € supplémentaires.
Un gouvernement et des bourgmestres qui se font attendre !
150 jours sans gouvernement, c’est un nouveau cap franchi ce 10 novembre 2010… Mais 1.409 jours sans nomination des bourgmestres à Crainhem, Linkebeek et Wezembeek-Oppem, c’est un scandale !
Les Jeunes FDF, en republiant les photos des 3 bourgmestres otages de la Flandre, tiennent en effet à rappeler que des bourgmestres pourtant plébiscités par les habitants de leur commune le 8 octobre 2006 se voient encore et toujours refuser leur nomination par un gouvernement flamand qui bafoue ainsi les valeurs universelles qui fondent notre société : celles de la démocratie et du respect du suffrage universel.
La photo des 3 bourgmestres pris en otage par le Gouvernement flamand sera transmis à l’ensemble des députés européens afin de les sensibiliser au sort de la démocratie dans notre pays.