Ce mercredi 10 mars 2010 à la Maison Communale d’Uccle,  j’ai présenté lors d’une conférence de presse avec Armand De Decker, Bourgmestre d’Uccle et Président du Sénat, mon étude actualisée  “20 ans de Dotation Générale aux Communes - Analyse et évaluation des mécanismes de solidarité  en Région bruxelloise”



Armand De Decker et moi-même avons fait l'analyse des 20 dernières années du principal mécanisme de solidarité : la Dotation Générale aux Communes (Fonds des communes). Principal outil de solidarité intercommunale pesant près de 250 millions d'euros chaque année, il était essentiel d'avoir une vue historique afin de permettre une évaluation crédible de cette politique publique importante. Le travail réalisé est à la mesure de l'intérêt que nous portons pour cette solidarité intrarégionale.


Initialement conçue pour pallier aux différences de perceptions communales des recettes du précompte immobilier (PRI) et de l'impôt sur les personnes physiques (IPP), la Dotation ne corrige pas ces différences. Dans certains cas, elle fait plus que les combler, et dans d'autres cas, elle les accroît. Nous avons mis en évidence les importantes disparités de traitement depuis 20 ans. A titre d’exemple, pour ce qui concerne notre commune Ucle, alors que les Bruxellois se sont appauvris de 21% an 20 ans, les Ucclois se sont appauvris de 27% et pourtant la Région a diminué de moitié ses efforts envers notre commune. Une politique qui, à terme, fait payer la crise deux fois aux Ucclois.

A la suite des événements des deniers jours, la ministre de l’Intérieur     annonce des moyens supplémentaires pour Bruxelles. Encore faut-il qu’ils     soient équitables entre les différentes communes !

Les Jeunes FDF se sont penchés sur les allocations contrat de sécurité et de société destinées aux communes ex-contrats de sécurité et de société dans le cadre de la mise en oeuvre d’une politique locale de sécurité et de prévention de la criminalité. Force est de constater que ces subsides sont totalement inégaux !

Les Jeunes FDF réagissent à l’article « le commissaire hors-la loi » paru dans « le Vif » de ce 15 janvier 2010. L’article s’interroge sur la légalité de la nomination comme commissaire du gouvernement de Guido De Padt.


L’alinéa 1er de l’article 5 d’une loi du 6 août 1931 stipule en effet que les membres de la Chambre et du Sénat ne peuvent être nommés à des fonctions salariées par l’Etat qu’une année au moins après la cession de leur mandat.