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Pour une gestion publique efficace dans le respect d’une stricte déontologie !


L’intergroupe parlementaire
DéFI s’est réuni ce mardi 20 juin à 11h et constate  que la situation politique francophone suscitée par la décision unilatérale du président du cdH, Benoît Lutgen, appelle un positionnement clair et sans ambiguïté des partis politiques pour préserver les intérêts majeurs des citoyens wallons et bruxellois et l’efficacité de la gestion publique dans le respect d’une stricte déontologie.

 

En conséquence, DéFI considère que dans l’attente d’éventuelles nouvelles majorités, les gouvernements wallon, bruxellois et de la Fédération ne sont pas en affaires courantes et doivent poursuivre leur travail pour la révolution éthique indispensable, la simplification drastique des institutions publiques et les services à rendre aux citoyens. DéFI interpelle dès lors le cdH pour qu’au gouvernement bruxellois, il maintienne l’attitude constructive qu’il a toujours eue jusqu’à présent et n’empêche pas par la politique de la chaise vide ou par l’obstruction systématique, la prise de décisions essentielles à l’avenir des Bruxellois et des Francophones. Ainsi, DéFI ne pourrait accepter que le gouvernement bruxellois ne poursuive pas les procédures judiciaires pour faire respecter l’arrêté Gosuin qui fixe des normes de bruit strictes pour le survol aérien de Bruxelles. Ce n’est qu’un exemple.

En ce qui concerne la révolution éthique, DéFI maintient comme exigence préalable à toute discussion, avec quel que parti que ce soit, l’absolue nécessité d’écarter les mandataires qui ont eu ou qui ont une responsabilité dans les scandales. Cette obligation s’impose aux trois partis traditionnels, PS, MR et cdH qui, tous trois, comptent dans leurs rangs des mandataires responsables de telles dérives. Si le président du cdH a estimé qu’il devait écarter des gouvernements un parti dont certains mandataires ont une lourde responsabilité dans les scandales actuels, il doit appliquer la même exigence à ses mandataires responsables d’autres scandales. Il ne peut y avoir de révolution éthique sans mise à l’écart de celles et de ceux qui ont porté gravement atteinte à la confiance des citoyens dans la gestion publique.